LES RESEAUX SOCIAUX ONT ASSERVI LE MONDE AU LIEU DE LA SERVIR

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LES RESEAUX SOCIAUX ONT ASSERVI LE MONDE AU LIEU DE LA SERVIR

      «VOUS NE LE REALISEZ PEUT-ETRE PAS, MAIS VOUS ETES PROGRAMMES»

                                                                               Chamath Palihapitiya...

                                                                                      ‘’Ancien co-président de Facebook’’

De nos jours les réseaux sociaux notamment Facebook, tweeter, instagram sont devenu des outils incontournables dans le monde de la communication. Mais il représente malheureusement plateforme de débauches et dépravations totale des mœurs. Au Togo plus de 60 % des jeunes y sont accros aux réseaux sociaux surtout Facebook. Devenue lieu D’exhibition et de faire voire des jeunes surtout les filles qui se permettent de balancer des photos à moitié nue. Ils vont jusqu’à : comme je suis au marché, je suis en salle de Gym ; je suis à la piscine ; je suis en taxi pour le campus, je suis au cours ou encore je suis à table. Il faut s’attendre qu’ils nous disent qu’ils sont au WC ou au cimetière. Tous ceci à un point donné qu’il suffit juste de te connecter pour connaitre le programme dans les moindres détails de certaines personnes. On comprend dès  lors que certains réseaux sociaux sont incontrôlables, attentent contre la vie privée et rendent dépendants d'une certaine forme de reconnaissance. De plus, les valeurs autours desquelles tournent les sujets traités monopolisent la visibilité qui serait plus utile à une culture plus évoluée.

    Les GAFA se foutent comme d’une guigne de la notion de responsabilité sociale: décident pour tout un chacun, du mode de vie qu'ils vont subir/vivre, au travers d'avancées techniques, dont personne ne veut mesurer l'impact sur la société sans parler de la difficulté technique de s'en débarrasser. ‘’LE FIGUARO’’

Ceux qui volontairement ou pour d’autres raisons n’utilisent pas ces derniers sont considérés comme gens précaires et couper du monde.  Nous ont confié des  internautes : ‘’Quand tu n’es pas sur les réseaux sociaux les gens ne se souviennent plus de toi même tes amis les plus proche et des fois tes parents, un ami me disait un jour toi tu auras vécu 1 siècle en arrière se serai mieux ; mais moi mesurant l’impact négatif ces dernier sur l’homme j’en suis fière de m’en passer’’. ‘’Je n'ai jamais eu de compte Facebook, je n'en aurai jamais et je ne m'en porte pas plus mal. Il y a tellement d'autres façons plus intelligentes et moins intrusives de partager l'information sans avoir l'impression de se faire violer’’ . Les réseaux sociaux conçus dans l’idée de faciliter la communication a échoué lamentablement à sa mission. Chamath Palihapitiya, ancien vice-président en charge de la croissance de l'audience du réseau social, dit ressentir une «immense culpabilité» pour ce qu'il a aidé à construire. Plusieurs anciens salariés sont très critiques.

Les ex-cadres de Facebook sont rarement tendres avec leur ancienne entreprise. Ex-vice-président en charge de la croissance de l'audience du groupe, Chamath Palihapitiya s'est montré particulièrement amer lors d'un débat à la Stanford Graduate School of Business, comme l'a repéré The Verge. «Je pense que nous avons créé des outils qui déchirent le tissu social», a-t-il jugé, en faisant part de «son immense culpabilité». S'il indique ne détenir aucune solution à l'heure actuelle, il préconise une «vraie pause» avec le réseau social, qu'il impose à ses propres enfants.

«Vous devez décider de votre indépendance intellectuelle», a avancé l'ancien cadre de Facebook devant le parterre d'étudiants, estimant qu'ils étaient «programmés», qu'ils le réalisent ou non. Chamath Palihapitiya est loin d'être le premier ancien salarié du réseau social à se montrer aussi critique. Le créateur du bouton «J'aime» de Facebook, Justin Rosenstein, avait confié au GUARDIAN, presse britannique sa volonté de bouder les réseaux sociaux Reddit et Snapchat et d'installer un filtre parental sur son propre téléphone, pour l'empêcher de télécharger toujours plus d'applications. «Il est révélateur que beaucoup de ces jeunes experts n'utilisent plus leurs propres produits», soulignait alors le quotidien britannique, «en envoyant leurs enfants dans les écoles élites de la Silicon Valley où les iPhones, les iPads et même les ordinateurs portables sont interdits.»

Ancien président du groupe, Sean Parker a expliqué que Facebook exploitait les vulnérabilités psychologiques humaines pour pousser les utilisateurs à publier toujours plus de contenus et obtenir, en récompense, des réponses et des mentions «J'aime». «Dieu seul sait ce qu'ils font aux cerveaux de nos enfants», s'était-il alors alarmé.

En mai 2016, un ancien ingénieur informatique de Google, Tristan Harris, a initié une prise de conscience sur le sujet. Dans un article Medium particulièrement relayé, il avait estimé que Google «piratait» l'esprit des gens, pour accroître leur engagement. Les effets d'une telle addiction sont encore méconnus.

Si entre temps ces personne qui ont mis dur pieds ces outils potentiels de communication tiennent de tels propos alors cela en appelle à la réflexion de tout un chacun.  

Aujourd'hui on ne compte plus les scandales, pratiques douteuses et cafouillages dans la gestion des données personnelles du réseau Facebook dont le modèle économique transforme son utilisateur en produit.

Nous pouvons alors se permettre de saluer la lucidité et l'honnêteté malheureusement tardives de ce repenti, qui prouve bien que les réseaux sociaux surtout  Facebook est devenu un monstre incontrôlable, bien loin de ses origines: une application simple de partage entre étudiants d'université.

    Beaucoup de gens font machine arrière en se désabonnant, mais le phénomène est trop récent, il faudra encore plusieurs générations pour éveiller les consciences et entre-temps d'autres auront ou ont déjà pris le relai.

Enfin  voici quelques astuces pour s’en passer des réseaux sociaux :

Désinstaller les applications des réseaux sociaux,

La couleur des applications des réseaux sociaux est très attirante donc éviter de les mettre en raccourci d’écran ou carrément mettre son smartphone en mode inverseur de couleur.

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